The Caring Gallery a sélectionné pour vous les oeuvres Care qui traduisent le rapport de l'humain à la nature, aux autres et à sa fragilité. Vous pouvez les retrouver sur les stands des galeries présentes cette année au Salon du Dessin Contemporain.
DENONCIATION DES INEGALITES ET CELEBRATION DE LA VIE
En perpétuelle rébellion contre les dysfonctionnements du monde, nombre de ses pièces traitent de la migration et de l’exil. Barthélémy Toguo fonde au Cameroun en 2013, une fondation accueillant des artistes et des chercheurs du monde entier pour développer des propositions en adéquation avec la communauté locale.
Barthélémy Toguo, Bilongue 9, 2020, Encre, aquarelle et collage sur papier, 38 x 27 cm. © Galerie Lelong & Co.
L'HUMAIN EST ANIMAL
Edi Dubien dessine des êtres hybrides, mais aussi des scènes de réelles communion avec la nature, rappelant que l'humain est aussi une espèce animale.
Edi Dubien, Sans titre, Crayon et aquarelle sur papier, 42 x 29,5 cm, 2021. © Galerie Alain Gutharc.
DIFFERENTES FACETTES DES FEMMES
Marcella Borcelo utilise les couleurs pop pour brouiller l'inquiétante étrangeté de ses oeuvres, montrant ainsi deux facettes des femmes présentées dans les légendes.
Marcella Borcelo, MARBA21 © Galerie Anne de Villepoix
TEXTILE ET DESSIN : INTIME ET UNIVERSEL
Odonchimeg Davaadorj représente le corps, la nature, le féminin, le nomadisme et le collectif qui sont autant de thèmes, qui construisent un univers onirique et sensible, très reconnaissable sans être narratif.
Retrouvez la dans notre exposition, Dreaming of better days.
Odonchimeg Davaadorj, Sans titre, 2021, 29,5 x 20,5 cm. © Artiste et Galerie Backslash
L'ONIRISME FLEURI
Ethan Murrow possède un coup de crayon photographique qui joue entre les possibles scientifiques et le rêve. Ancrant un corps fleuri, signe d'espoir, dans un monde aride souvent composé en noir et blanc.
Ethan Murrow, The Gleaner, Graphite sur papier, 91,5 x 91,5 cm, 2021. © Les Filles du Calvaire
FORMES ORGANIQUES OU VEGETALES ?
Entre la sculpture et le dessin, Gaëlle Chotard montre l'étrange de la faille : on ne sait si on contemple le détail d'un paysage ou d'un organe, rappelant à quel point tous les organismes vivants sont semblables.
Gaëlle Chotard, Sans titre, 2020 Encre, aquarelle sur papier, 36 x 26 cm. © Galerie Papillon